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Par francesco le 10 Septembre 2020 à 17:27
Johnny Hallyday - Paroles Mania
O Carole
Ne me regarde pas comme ça
Ce soir si je suis là
C'est pour te dire
Qu'il ne viendra pas
Ca ne vaut pas la peine de pleurer pour ça
Tu le remplaceras
D'ici huit jours, tu l'oublieras
Maintenant dans tes yeux
Toute la joie s'est envolée
Sèche tes larmes, oublie tout ça
Avec moi, viens danser
Et quand il saura que tu t'es consolée dans mes bras
Ce jour-là, peut-être, il reviendra vers toiO Carole
Ne me regarde pas comme ça
Ce soir si je suis là
C'est parc'que tu es tout pour moi
O Carole
Tu danses dans mes bras mais tu es loin de moi
Ouais, tu penses à celui qui ne viendra pas
Mais je crois bien que c'est lui que j'aperçois là-bas
Il vient tout droit vers toi, tu lui souris déjà
Il est trop tard pour moi, c'est bien fini
Et oui, déjà, on dirait qu'il a changé d'avisO Carole
Ne me regarde comme ça
Il y a trop de joie dans tes yeux
C'est bien fini pour moi
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Par francesco le 13 Août 2020 à 09:10
Georges Brassens
Gastibelza, l'homme à la carabine,
. . Chantait ainsi:
"Quelqu'un a-t-il connu doña Sabine?
. . Quelqu'un d'ici?
Chantez, dansez, villageois! la nuit gagne
. . Le mont Falu...
Le vent qui vient à travers la montagne
. . Me rendra fou."
"Quelqu'un de vous a-t-il connu Sabine,
. . Ma señora?
Sa mère était la vieille maugrabine
. . D'Antequera,
Qui chaque nuit criait dans la tour Magne
. . Comme un hibou...
Le vent qui vient à travers la montagne
. . Me rendra fou."
"Vraiment, la reine eût près d'elle été laide
. . Quand, vers le soir,
Elle passait sur le pont de Tolède
. . En corset noir.
Un chapelet du temps de Charlemagne
. . Ornait son cou...
Le vent qui vient à travers la montagne
. . Me rendra fou."
Le roi disait, en la voyant si belle,
. . A son neveu:
"Pour un baiser, pour un sourire d'elle,
. . Pour un cheveu,
Infant don Ruy, je donnerai l'Espagne
. . Et le Pérou!
Le vent qui vient à travers la montagne
. . Me rendra fou."
"Je ne sais pas si j'aimais cette dame,
. . Mais je sais bien
Que, pour avoir un regard de son âme,
Moi, pauvre chien,
J'aurai gaîment passé dix ans au bagne
. . Sous les verrous...
Le vent qui vient à travers la montagne
. . Me rendra fou."
"Quand je voyais cette enfant, moi le pâtre
. . De ce canton,
Je croyais voir la belle Cléopâtre,
. . Qui, nous dit-on,
Menait César, empereur d'Allemagne,
. . Par le licou...
Le vent qui vient à travers la montagne
. . Me rendra fou."
"Dansez, chantez, villageois, la nuit tombe
. . Sabine, un jour,
A tout vendu, sa beauté de colombe,
. . Tout son amour,
Pour l'anneau d'or du comte de Saldagne,
. . Pour un bijou...
Le vent qui vient à travers la montagne
. . M'a rendu fou."Une adaptation musicale d'un poème de Victor Hugo dénommé Guitare. Le texte de ce poème a été mis en musique par le compositeur d'opéras comiques Hippolyte Monpou (1804-1841) ...
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Par francesco le 3 Juin 2020 à 09:45
Anne Sylvestre
Le mari de Maryvonne
Etait mon amant
Quelquefois je m'en étonne
Encore maintenant
Au début, tout feu tout braise
Il était gentil
Quand il se mettait à l'aise
Il refaisait le lit
Il me disait "Tu es belle"
Après comme avant
Il descendait la poubelle
En repartant
La la la Petit bonhomme
Comme on est bien élevé
C'était grâce à Maryvonne
Il me l'avait caché
La la la Petit bonhomme
Comme on avait bien menti
"Ma femme est une matrone"
Il m'avait dit
Le mari de Maryvonne
Etait mon amant
Mais il m'appela "bobonne"
Au bout de pas longtemps
Puis je rencontrai sa femme
Qui me dit: "merci...
Depuis qu'il vous a dans l'âme
Il ne vient plus ici."
Il m'avait dit "Maryvonne
Est un vrai boudin
Toujours elle me cramponne
Et ça me dit rien".
La la la Petit bonhomme
Comme on est mal élevé
Maryvonne est très mignonne
Il me l'avait caché
La la la Petit bonhomme
Comme on avait bien menti
"Ma maîtresse est une conne"
Il lui avait dit.
Le mari de Maryvonne
N'est plus mon amant
Comme il n'a trouvé personne
Il est chez sa maman
Maryvonne et moi on pense
Qu'on pourra bientôt
Se prendre un peu de vacances
Un peu de repos
Mais voilà que Maryvonne m'apprend ce midi
Sa belle-mère lui téléphone
Elle vient aussi
La la la Petit bonhomme
Ça commence à se gâter
Il la prenait pour sa bonne
Elle en a eu assez
La la la Petit bonhomme
Comme on avait bien menti
Ma mère est une gorgone
Il avait dit
Le mari de Maryvonne
A pu se recaser
C'est Sophie qui lui redonne
Un peu de volupté
Au début tout feu tout braise
Il sera gentil
Quand il se mettra à l'aise
Il refera le lit
Il lui dira "Tu es belle"
Après comme avant
Il descendra la poubelle
En repartant
La la la Petit bonhomme
Mais ça ne va pas durer
Quand il lui dira bobonne
Elle va se tirer
Moi sa mère et Maryvonne
On l'a bien dit à Sophie
"On t'attend ma toute bonne
Dans le midi"
Si longtemps ça recommence
On va se retrouver
Toute une colonie de vacances
On va bien s'amuser
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Par francesco le 22 Mai 2020 à 09:47
Serge Gainsbourg
Elisa, Elisa
Elisa saute-moi au cou
Elisa, Elisa
Elisa cherche-moi des poux,Enfonce bien tes ongles,
Et tes doigts délicats
Dans la jungle
De mes cheveux LisaElisa, Elisa
Elisa saute-moi au cou
Elisa, Elisa
Elisa cherche-moi des poux,Fais-moi quelques anglaises,
Et la raie au milieu
On a treize
Quatorze ans à nous deuxElisa, Elisa
Elisa les autres on s'en fout,
Elisa, Elisa
Elisa rien que toi, moi, nousTes vingt ans, mes quarante
Si tu crois que cela
Me tourmente
Ah non vraiment LisaElisa, Elisa
Elisa saute-moi au cou Elisa, Elisa
Elisa cherche-moi des poux,
Enfonce bien tes ongles,Et tes doigts délicats
Dans la jungle
De mes cheveux Lisa
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Par francesco le 20 Mai 2020 à 17:28
Yves Duteil
Suis allé courir à l’îlot
Cueillir un lilas,
Suis allé courir à l’îlot
Cueillir un lilas,
Un lilas pour Eulalie,
Eulalie pour un lilas,
Suis allé courir à l’îlot
Cueillir un lilas,
Elle m’aimera.
Suis allé courir à l’îlot
Cueillir un lilas,
Elle m’aimera.
En chemin j’ai croisé Lili
Qui voit le lilas,
En chemin j’ai croisé Lili
qui voit le lilas,
Le lilas pour Eulalie,
Eulalie pour un lilas
Et Lili qui n’a personne,
Moi le lilas je lui donne.
En chemin j’ai croisé Lili
Qui prend le lilas
Et qui m’aimera,
En chemin j’ai croisé Lili
Qui prend le lilas
Et qui m’aimera.
Mais déjà, Lili m’abandonne,
Lili s’en va.
Près de moi je n’ai plus personne
Et plus de lilas,
De lilas pour Eulalie,
Eulalie pour un lilas
Et Lili qui n’a personne,
Moi le lilas je lui donne,
Mais déjà Lili m’abandonne,
Lili s’en va
Ne m’aimera pas,
Mais déjà Lili m’abandonne
Lili s’en va
Ne m’aimera pas.
Suis retourné cueillir alors
Un autre lilas,
Suis retourné cueillir alors
Un autre lilas,
Du lilas j’ai pris le LI
Pour dormir quand vient le soir
Et du lilas d’Eulalie
Reste un LA pour ma guitare,
Et demain j’irai pour de bon
Chanter mes chansons,
Elles m’aimeront,
Et demain j’irai pour de bon
Chanter mes chansons,
Elles m’aimeront.
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Par francesco le 12 Mai 2020 à 09:25
Henri Tachan
Les maréchaux ont leur boul'vard,
Les empereurs leur Panthéon,
Les rois ont leurs livres d'histoire,
Les militaires leur orphéon...
REFRAIN
Cette p'tite chanson je vous dédie
À vous deux, Laurel et Hardy,
Ces quelques rimes, ces quatre vers
À vous deux, Stan et Oliver.
Les athlètes ont leurs belles médailles,
Les saints ont leur calendrier,
Les crapules ont des funérailles
Nationales et des lauriers...
REFRAIN
Les Marx Brothers ont leur légende,
Buster Keaton, c'est important,
Et Charlot, depuis les calendes,
Triomphe toujours, et pourtant...
REFRAIN
Aux deux grands gosses sans malice,
Sans défense, sans méchanceté,
Qu'on a oubliés à l'hospice,
Que les cinéphiles ont boudés.
Aux seuls copains de mon enfance,
Moitié fou-rire, moitié sanglot,
Que j'appelle parfois en silence
Quand mon cœur d'adulte est trop gros...
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Par francesco le 10 Mai 2020 à 00:26
Henri Tachan
Quand j'étais p'tit, j'idolâtrais Tarzan,
Pas à cause de son cri, son fameux cri de bête,
Quand j'étais p'tit, j'idolâtrais Tarzan
Tout simplement parc'que j'enviais sa quéquette.
La quéquette à Tarzan, jour et nuit, j'en rêvais
Lorsque je contemplais tristement ma virgule,
La quéquette à Tarzan, ah oui! je la greffais
Sans vergogne à la plac'e d'mon zizi d'libellule.
Quand j'étais p'tit, j'idolâtrais Tarzan,
Pas à caus'e qu'il savait parler avec les bêtes,
Quand j'étais p'tit, j'idolâtrais Tarzan
Tout simplement parc'que j'enviais sa quéquette.
La quéquette à Tarzan, je me l'imaginais
S'élançant fièrement entre mes petit'es cannes,
La quéquette à Tarzan, faut dir'e que je l'enviais
Proportionnellement au beau cul rond de Jane!
Quand j'étais p'tit, j'idolâtrais Tarzan,
Sa taille, ses biscotos et surtout sa quéquette,
Quand j'étais p'tit, j'étais comme les grands:
J'aurais tellement voulu me farcir sa nénette!
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Par francesco le 1 Avril 2020 à 09:37
Laurent Voulzy
Ecoutez
Aux alizés du soir,
On entend murmurer,
Les îles et leur histoire
Ecoutez,
C'est Amélie qui part,
Sur une vieille biguine,
Si loin dans sa mémoire la la
Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
Si ou enmé mwen, pa fé mwen mal,
Séré mwen fo.
Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
Si ou enmé mwen, an Ké vin,
Pli bèl anko.
Elle se souvient,
Même en dehors de l'école,
Fallait pas parler créole,
Palé Kréol
Té ka jéné manman-y
C'était la loi.
Mais en secret,
A la fille du gouverneur,
Elle apprenait des phrases par cœur.
Amélie rit du système
C'est sa philosophie.
Amélie rit du système
Améli se filozofi
Amélie se fout du système
Amélie, c'est fou quand elle rit.
Elle se souvient,
Des avions Latécoère,
Quand elle attendait son père.
Qu'était parti derrière l'horizon
Pour une raison
Et puis pour rien.
Quand elle mettait deux couverts
Elle voyait pleurer sa mère,
Amélie quand elle dit “Mwen la“
c'est pour de bon.
Amélie tient bien debout,
Améli kenbé rèd
Amélie tient bien debout,
Amélie elle s'asseoit aussi
Lointaine dans sa berceuse,
Souveraine et rêveuse,
Amélie part pour un bal
Antanlontan,
Elle entend
Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
Si ou enmé mwen, pa fé mwen mal,
Séré mwen fo.
Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
Si ou enmé mwen, an Ké vin,
Pli bèl anko.
Elle se souvient
D'un amour cheveux clairs,
Fils d'un grand propriètaire,
Mayé béké yo po jen vwè sa
C'est comme la loi.
Les yeux fermés,
Elle raconte comme c'était fort,
Et ce qui est plus fort encore,
C'est qu'Amélie donne
Tout l'amour qu'elle a perdu.
Améli bay l'anmou
Améli bay... Wa bap!
Améli bay l'anmou
Amélie a un rêve aussi.
Elle dit que blanc et noir,
C'est une chance, un espoir.
Amélie Colbert qui danse
Il faut la voir.
Amélie,
Amélie,
Amélie
Amélie dit :
Y a tant de choses à faire
Istwa annou
Sé on trézo
Ou jou ou l'ot ou ke plere
Amélie jure qu'elle entend
Notre île chanter
Chanter...
Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
Si ou enmé mwen, pa fé mwen mal,
Séré mwen fo.
Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
Si ou enmé mwen, an Ké vin,
Pli bèl anko.
Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
Si ou enmé mwen, pa fé mwen mal,
Séré mwen fo.
Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
Si ou enmé mwen, an Ké vin,
Pli bèl anko.
Si ou enmé mwen, an Ké vin,
Pli bèl anko.
Si ou enmé mwen,
Pa fé mwen mal,
Séré mwen fo.
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Par francesco le 28 Mars 2020 à 10:22
Georges Brassens
Les sabots d'Hélène
Etaient tout crottés,
Les trois capitaines
L'auraient appelé' vilaine,
Et la pauvre Hélène
Etait comme une âme en peine...
Ne cherche plus longtemps de fontaine,
Toi qui as besoin d'eau,
Ne cherche plus: aux larmes d'HélèneMoi j'ai pris la peine
De les déchausser,
Les sabots d'Hélène,
Moi qui ne suis pas capitaine,
Et j'ai vu ma peine
Bien récompensée...
Dans les sabots de la pauvre Hélène,
Dans ses sabots crottés,
Moi j'ai trouvé les pieds d'une reine
Et je les ai gardés.
Va-t'en remplir ton seau.Son jupon de laine
Etait tout mité,
Les trois capitaines
L'auraient appelé' vilaine,
Et la pauvre Hélène
Etait comme une âme en peine...
Ne cherche plus longtemps de fontaine,
Toi qui as besoin d'eau,
Ne cherche plus: aux larmes d'Hélène,
Va-t'en remplir ton seau.Moi j'ai pris la peine
De le retrousser,
Le jupon d'Hélène,
Moi qui ne suis pas capitaine,
Et j'ai vu ma peine
Bien récompensée...
Sous le jupon de la pauvre Hélène,
Sous son jupon mité,
Moi j'ai trouvé kes jambes de reine
Et je les ai gardées.Et le coeur d'Hélène
N'savait pas chanter,
Les trois capitaines
L'auraient appelé' vilaine,
Et la pauvre Hélène
Etait comme un âme en peine...
Ne cherche plus longtemps de fontaine,
Toi qui as besoin d'eau,
Ne cherche plus: aux larmes d'Hélène,
Va-t'en remplir ton seau.Moi j'ai pris la peine
De m'y arrêter,
Dans le coeur d'Hélène
Moi qui ne suis pas capitaine,
Et j'ai vu ma peine
Bien récompensée...
Et, dans le coeur de la pauvre Hélène,
Qui avait jamais chanté,
Moi j'ai trouvé l'amour d'une reine
Et moi je l'ai gardé.
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Par francesco le 3 Mars 2020 à 23:44
Isabelle Boulay
C'est un garçon triste
Qui connait bien l'attente
C'est un gosse oublié
Oui c'est un garçon triste
Et son coeur de brocante
À prendre ou à laisser
Comme les garçons tristes
Il invente, il résiste
Pour se faire remarquer
Comme si la tristesse
Cette mauvais sorcière
L'avait fait s'envoler
Et comme les garçons tristes
Il dessine sans répit
De quoi se consoler
Un frisson, un délice
Un instant, un abri
Quelque chose à rêver
J'aime ce garçon triste
Comme à chaque sourire
Il semble s'excuser
J'aime comme il sait croire
Comme il sait s'éblouir
Simplement d'exister
Je chante un garçon triste
Qui se donne des grands airs
Pour ne pas se noyer
Comme tous les garçons tristesIl aime jouer au cador
Jouer au roi du quartier
Et puis ce garçon triste
Est entré dans ma vie
Il a tout dérangé
Mes rêves et leurs esquisses
Mes souvenirs, mes délires
Il a tout emporté
C'est pour un garçon triste
Que j'ai posé mes armes
Doucement à ses pieds
Et pour ce garçon triste
Je suis prête à souffrir
Je suis prête à trembler
Il est comme une promesse
Il est comme un vacarme
Il est mon naufragé
Il est ma seule tendresse
Mon amour, mon alarme
Mon enfant, mon pêché
Humm, humm
Humm, humm
Il est comme une promesse
Il est comme un vacarme
Ou comme un naufragé
Il est ma seule tendresse
Mon amour, mon alarme
Mon prince et mon pêchéchanson composée par Carla Bruni et Julien Clerc
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