•                  Johnny Hallyday - Paroles Mania

    O Carole
    Ne me regarde pas comme ça
    Ce soir si je suis là
    C'est pour te dire
    Qu'il ne viendra pas

    Ca ne vaut pas la peine de pleurer pour ça
    Tu le remplaceras
    D'ici huit jours, tu l'oublieras
    Maintenant dans tes yeux
    Toute la joie s'est envolée
    Sèche tes larmes, oublie tout ça
    Avec moi, viens danser
    Et quand il saura que tu t'es consolée dans mes bras
    Ce jour-là, peut-être, il reviendra vers toi

    O Carole
    Ne me regarde pas comme ça
    Ce soir si je suis là
    C'est parc'que tu es tout pour moi

    O Carole
    Tu danses dans mes bras mais tu es loin de moi
    Ouais, tu penses à celui qui ne viendra pas
    Mais je crois bien que c'est lui que j'aperçois là-bas
    Il vient tout droit vers toi, tu lui souris déjà
    Il est trop tard pour moi, c'est bien fini
    Et oui, déjà, on dirait qu'il a changé d'avis

    O Carole
    Ne me regarde comme ça
    Il y a trop de joie dans tes yeux
    C'est bien fini pour moi

     


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  •                  Georges Brassens

    Gastibelza, l'homme à la carabine,
    . . Chantait ainsi:
    "Quelqu'un a-t-il connu doña Sabine?
    . . Quelqu'un d'ici?
    Chantez, dansez, villageois! la nuit gagne
    . . Le mont Falu...
    Le vent qui vient à travers la montagne
    . . Me rendra fou."

    "Quelqu'un de vous a-t-il connu Sabine,
    . . Ma señora?
    Sa mère était la vieille maugrabine
    . . D'Antequera,
    Qui chaque nuit criait dans la tour Magne
    . . Comme un hibou...
    Le vent qui vient à travers la montagne
    . . Me rendra fou."

    "Vraiment, la reine eût près d'elle été laide
    . . Quand, vers le soir,
    Elle passait sur le pont de Tolède
    . . En corset noir.
    Un chapelet du temps de Charlemagne
    . . Ornait son cou...
    Le vent qui vient à travers la montagne
    . . Me rendra fou."

    Le roi disait, en la voyant si belle,
    . . A son neveu:
    "Pour un baiser, pour un sourire d'elle,
    . . Pour un cheveu,
    Infant don Ruy, je donnerai l'Espagne
    . . Et le Pérou!
    Le vent qui vient à travers la montagne
    . . Me rendra fou."

    "Je ne sais pas si j'aimais cette dame,
    . . Mais je sais bien
    Que, pour avoir un regard de son âme,
    Moi, pauvre chien,
    J'aurai gaîment passé dix ans au bagne
    . . Sous les verrous...
    Le vent qui vient à travers la montagne
    . . Me rendra fou."

    "Quand je voyais cette enfant, moi le pâtre
    . . De ce canton,
    Je croyais voir la belle Cléopâtre,
    . . Qui, nous dit-on,
    Menait César, empereur d'Allemagne,
    . . Par le licou...
    Le vent qui vient à travers la montagne
    . . Me rendra fou."

    "Dansez, chantez, villageois, la nuit tombe
    . . Sabine, un jour,
    A tout vendu, sa beauté de colombe,
    . . Tout son amour,
    Pour l'anneau d'or du comte de Saldagne,
    . . Pour un bijou...
    Le vent qui vient à travers la montagne
    . . M'a rendu fou."

    Une adaptation musicale d'un poème de Victor Hugo dénommé Guitare.  Le texte de ce poème a été mis en musique par le compositeur d'opéras comiques  Hippolyte Monpou (1804-1841) ...


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  •               Anne Sylvestre

    Le mari de Maryvonne
    Etait mon amant
    Quelquefois je m'en étonne
    Encore maintenant
    Au début, tout feu tout braise
    Il était gentil
    Quand il se mettait à l'aise
    Il refaisait le lit
    Il me disait "Tu es belle"
    Après comme avant


    Il descendait la poubelle
    En repartant
    La la la Petit bonhomme
    Comme on est bien élevé
    C'était grâce à Maryvonne
    Il me l'avait caché
    La la la Petit bonhomme
    Comme on avait bien menti
    "Ma femme est une matrone"
    Il m'avait dit


    Le mari de Maryvonne
    Etait mon amant
    Mais il m'appela "bobonne"
    Au bout de pas longtemps
    Puis je rencontrai sa femme
    Qui me dit: "merci...
    Depuis qu'il vous a dans l'âme
    Il ne vient plus ici."
    Il m'avait dit "Maryvonne
    Est un vrai boudin
    Toujours elle me cramponne
    Et ça me dit rien".


    La la la Petit bonhomme
    Comme on est mal élevé
    Maryvonne est très mignonne
    Il me l'avait caché
    La la la Petit bonhomme
    Comme on avait bien menti
    "Ma maîtresse est une conne"
    Il lui avait dit.


    Le mari de Maryvonne
    N'est plus mon amant
    Comme il n'a trouvé personne
    Il est chez sa maman
    Maryvonne et moi on pense
    Qu'on pourra bientôt
    Se prendre un peu de vacances
    Un peu de repos
    Mais voilà que Maryvonne m'apprend ce midi
    Sa belle-mère lui téléphone
    Elle vient aussi


    La la la Petit bonhomme
    Ça commence à se gâter
    Il la prenait pour sa bonne
    Elle en a eu assez
    La la la Petit bonhomme
    Comme on avait bien menti
    Ma mère est une gorgone
    Il avait dit


    Le mari de Maryvonne
    A pu se recaser
    C'est Sophie qui lui redonne
    Un peu de volupté
    Au début tout feu tout braise
    Il sera gentil
    Quand il se mettra à l'aise
    Il refera le lit
    Il lui dira "Tu es belle"
    Après comme avant
    Il descendra la poubelle
    En repartant


    La la la Petit bonhomme
    Mais ça ne va pas durer
    Quand il lui dira bobonne
    Elle va se tirer
    Moi sa mère et Maryvonne
    On l'a bien dit à Sophie
    "On t'attend ma toute bonne
    Dans le midi"


    Si longtemps ça recommence
    On va se retrouver
    Toute une colonie de vacances
    On va bien s'amuser


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  •                                      Serge Gainsbourg

    Elisa, Elisa
    Elisa saute-moi au cou
    Elisa, Elisa
    Elisa cherche-moi des poux,

    Enfonce bien tes ongles,
    Et tes doigts délicats
    Dans la jungle
    De mes cheveux Lisa

    Elisa, Elisa
    Elisa saute-moi au cou
    Elisa, Elisa
    Elisa cherche-moi des poux,

    Fais-moi quelques anglaises,
    Et la raie au milieu
    On a treize
    Quatorze ans à nous deux

    Elisa, Elisa
    Elisa les autres on s'en fout,
    Elisa, Elisa
    Elisa rien que toi, moi, nous

    Tes vingt ans, mes quarante
    Si tu crois que cela
    Me tourmente
    Ah non vraiment Lisa

    Elisa, Elisa
    Elisa saute-moi au cou Elisa, Elisa
    Elisa cherche-moi des poux,
    Enfonce bien tes ongles,

    Et tes doigts délicats
    Dans la jungle
    De mes cheveux Lisa


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  •                                     Yves Duteil

    Suis allé courir à l’îlot
    Cueillir un lilas,
    Suis allé courir à l’îlot
    Cueillir un lilas,
    Un lilas pour Eulalie,
    Eulalie pour un lilas,
    Suis allé courir à l’îlot
    Cueillir un lilas,
    Elle m’aimera.
    Suis allé courir à l’îlot
    Cueillir un lilas,
    Elle m’aimera.

    En chemin j’ai croisé Lili
    Qui voit le lilas,
    En chemin j’ai croisé Lili
    qui voit le lilas,
    Le lilas pour Eulalie,
    Eulalie pour un lilas
    Et Lili qui n’a personne,
    Moi le lilas je lui donne.
    En chemin j’ai croisé Lili
    Qui prend le lilas
    Et qui m’aimera,
    En chemin j’ai croisé Lili
    Qui prend le lilas
    Et qui m’aimera.

    Mais déjà, Lili m’abandonne,
    Lili s’en va.
    Près de moi je n’ai plus personne
    Et plus de lilas,
    De lilas pour Eulalie,
    Eulalie pour un lilas
    Et Lili qui n’a personne,
    Moi le lilas je lui donne,
    Mais déjà Lili m’abandonne,
    Lili s’en va
    Ne m’aimera pas,
    Mais déjà Lili m’abandonne
    Lili s’en va
    Ne m’aimera pas.

    Suis retourné cueillir alors
    Un autre lilas,
    Suis retourné cueillir alors
    Un autre lilas,
    Du lilas j’ai pris le LI
    Pour dormir quand vient le soir
    Et du lilas d’Eulalie
    Reste un LA pour ma guitare,
    Et demain j’irai pour de bon
    Chanter mes chansons,
    Elles m’aimeront,
    Et demain j’irai pour de bon
    Chanter mes chansons,
    Elles m’aimeront.


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  •                      Henri Tachan

    Les maréchaux ont leur boul'vard,
    Les empereurs leur Panthéon,
    Les rois ont leurs livres d'histoire,
    Les militaires leur orphéon...

    REFRAIN
    Cette p'tite chanson je vous dédie
    À vous deux, Laurel et Hardy,
    Ces quelques rimes, ces quatre vers
    À vous deux,  Stan et Oliver.

    Les athlètes ont leurs belles médailles,
    Les saints ont leur calendrier,
    Les crapules ont des funérailles
    Nationales et des lauriers...

    REFRAIN

    Les Marx Brothers ont leur légende,
    Buster Keaton, c'est important,
    Et Charlot, depuis les calendes,
    Triomphe toujours, et pourtant...

    REFRAIN

    Aux deux grands gosses sans malice,
    Sans défense, sans méchanceté,
    Qu'on a oubliés à l'hospice,
    Que les cinéphiles ont boudés.

    Aux seuls copains de mon enfance,
    Moitié fou-rire, moitié sanglot,
    Que j'appelle parfois en silence
    Quand mon cœur d'adulte est trop gros...


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  •                                              Henri Tachan

    Quand j'étais p'tit, j'idolâtrais Tarzan,
    Pas à cause de son cri, son fameux cri de bête,
    Quand j'étais p'tit, j'idolâtrais Tarzan
    Tout simplement parc'que j'enviais sa quéquette.

    La quéquette à Tarzan, jour et nuit, j'en rêvais
    Lorsque je contemplais tristement ma virgule,
    La quéquette à Tarzan, ah oui! je la greffais
    Sans vergogne à la plac'e d'mon zizi d'libellule.

    Quand j'étais p'tit, j'idolâtrais Tarzan,
    Pas à caus'e qu'il savait parler avec les bêtes,
    Quand j'étais p'tit, j'idolâtrais Tarzan
    Tout simplement parc'que j'enviais sa quéquette.

    La quéquette à Tarzan, je me l'imaginais
    S'élançant fièrement entre mes petit'es cannes,
    La quéquette à Tarzan, faut dir'e que je l'enviais
    Proportionnellement au beau cul rond de Jane!

    Quand j'étais p'tit, j'idolâtrais Tarzan,
    Sa taille, ses biscotos et surtout sa quéquette,
    Quand j'étais p'tit, j'étais comme les grands:
    J'aurais tellement voulu me farcir sa nénette!


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  •       Laurent Voulzy

    Ecoutez
    Aux alizés du soir,
    On entend murmurer,
    Les îles et leur histoire
    Ecoutez,
    C'est Amélie qui part,
    Sur une vieille biguine,
    Si loin dans sa mémoire la la
    Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
    Si ou enmé mwen, pa fé mwen mal,
    Séré mwen fo.
    Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
    Si ou enmé mwen, an Ké vin,
    Pli bèl anko.
    Elle se souvient,
    Même en dehors de l'école,
    Fallait pas parler créole,
    Palé Kréol
    Té ka jéné manman-y
    C'était la loi.
    Mais en secret,
    A la fille du gouverneur,
    Elle apprenait des phrases par cœur.
    Amélie rit du système
    C'est sa philosophie.
    Amélie rit du système
    Améli se filozofi
    Amélie se fout du système
    Amélie, c'est fou quand elle rit.
    Elle se souvient,
    Des avions Latécoère,
    Quand elle attendait son père.
    Qu'était parti derrière l'horizon
    Pour une raison
    Et puis pour rien.
    Quand elle mettait deux couverts
    Elle voyait pleurer sa mère,
    Amélie quand elle dit “Mwen la“
    c'est pour de bon.
    Amélie tient bien debout,
    Améli kenbé rèd
    Amélie tient bien debout,
    Amélie elle s'asseoit aussi
    Lointaine dans sa berceuse,
    Souveraine et rêveuse,
    Amélie part pour un bal
    Antanlontan,
    Elle entend
    Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
    Si ou enmé mwen, pa fé mwen mal,
    Séré mwen fo.
    Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
    Si ou enmé mwen, an Ké vin,
    Pli bèl anko.
    Elle se souvient
    D'un amour cheveux clairs,
    Fils d'un grand propriètaire,
    Mayé béké yo po jen vwè sa
    C'est comme la loi.
    Les yeux fermés,
    Elle raconte comme c'était fort,
    Et ce qui est plus fort encore,
    C'est qu'Amélie donne
    Tout l'amour qu'elle a perdu.
    Améli bay l'anmou
    Améli bay... Wa bap!
    Améli bay l'anmou
    Amélie a un rêve aussi.
    Elle dit que blanc et noir,
    C'est une chance, un espoir.
    Amélie Colbert qui danse
    Il faut la voir.
    Amélie,
    Amélie,
    Amélie
    Amélie dit :
    Y a tant de choses à faire
    Istwa annou
    Sé on trézo
    Ou jou ou l'ot ou ke plere
    Amélie jure qu'elle entend
    Notre île chanter
    Chanter...
    Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
    Si ou enmé mwen, pa fé mwen mal,
    Séré mwen fo.
    Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
    Si ou enmé mwen, an Ké vin,
    Pli bèl anko.
    Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
    Si ou enmé mwen, pa fé mwen mal,
    Séré mwen fo.
    Si ou enmé mwen, si ou enmé mwen,
    Si ou enmé mwen, an Ké vin,
    Pli bèl anko.
    Si ou enmé mwen, an Ké vin,
    Pli bèl anko.
    Si ou enmé mwen,
    Pa fé mwen mal,
    Séré mwen fo.


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  •                        Georges Brassens     

    Les sabots d'Hélène
    Etaient tout crottés,
    Les trois capitaines
    L'auraient appelé' vilaine,
    Et la pauvre Hélène
    Etait comme une âme en peine...
    Ne cherche plus longtemps de fontaine,
    Toi qui as besoin d'eau,
    Ne cherche plus: aux larmes d'Hélène

    Moi j'ai pris la peine
    De les déchausser,
    Les sabots d'Hélène,
    Moi qui ne suis pas capitaine,
    Et j'ai vu ma peine
    Bien récompensée...
    Dans les sabots de la pauvre Hélène,
    Dans ses sabots crottés,
    Moi j'ai trouvé les pieds d'une reine
    Et je les ai gardés.
    Va-t'en remplir ton seau.

    Son jupon de laine
    Etait tout mité,
    Les trois capitaines
    L'auraient appelé' vilaine,
    Et la pauvre Hélène
    Etait comme une âme en peine...
    Ne cherche plus longtemps de fontaine,
    Toi qui as besoin d'eau,
    Ne cherche plus: aux larmes d'Hélène,
    Va-t'en remplir ton seau.

    Moi j'ai pris la peine
    De le retrousser,
    Le jupon d'Hélène,
    Moi qui ne suis pas capitaine,
    Et j'ai vu ma peine
    Bien récompensée...
    Sous le jupon de la pauvre Hélène,
    Sous son jupon mité,
    Moi j'ai trouvé kes jambes de reine
    Et je les ai gardées.

    Et le coeur d'Hélène
    N'savait pas chanter,
    Les trois capitaines
    L'auraient appelé' vilaine,
    Et la pauvre Hélène
    Etait comme un âme en peine...
    Ne cherche plus longtemps de fontaine,
    Toi qui as besoin d'eau,
    Ne cherche plus: aux larmes d'Hélène,
    Va-t'en remplir ton seau.

    Moi j'ai pris la peine
    De m'y arrêter,
    Dans le coeur d'Hélène
    Moi qui ne suis pas capitaine,
    Et j'ai vu ma peine
    Bien récompensée...
    Et, dans le coeur de la pauvre Hélène,
    Qui avait jamais chanté,
    Moi j'ai trouvé l'amour d'une reine
    Et moi je l'ai gardé.


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  •                     Isabelle Boulay

    C'est un garçon triste
    Qui connait bien l'attente
    C'est un gosse oublié
    Oui c'est un garçon triste
    Et son coeur de brocante
    À prendre ou à laisser
    Comme les garçons tristes
    Il invente, il résiste
    Pour se faire remarquer
    Comme si la tristesse
    Cette mauvais sorcière
    L'avait fait s'envoler
    Et comme les garçons tristes
    Il dessine sans répit
    De quoi se consoler
    Un frisson, un délice
    Un instant, un abri
    Quelque chose à rêver
    J'aime ce garçon triste
    Comme à chaque sourire
    Il semble s'excuser
    J'aime comme il sait croire
    Comme il sait s'éblouir
    Simplement d'exister
    Je chante un garçon triste
    Qui se donne des grands airs
    Pour ne pas se noyer
    Comme tous les garçons tristes
     
    Il aime jouer au cador
    Jouer au roi du quartier
    Et puis ce garçon triste
    Est entré dans ma vie
    Il a tout dérangé
    Mes rêves et leurs esquisses
    Mes souvenirs, mes délires
    Il a tout emporté
    C'est pour un garçon triste
    Que j'ai posé mes armes
    Doucement à ses pieds
    Et pour ce garçon triste
    Je suis prête à souffrir
    Je suis prête à trembler
    Il est comme une promesse
    Il est comme un vacarme
    Il est mon naufragé
    Il est ma seule tendresse
    Mon amour, mon alarme
    Mon enfant, mon pêché
    Humm, humm
    Humm, humm
    Il est comme une promesse
    Il est comme un vacarme
    Ou comme un naufragé
    Il est ma seule tendresse
    Mon amour, mon alarme
    Mon prince et mon pêché
                                    chanson composée par Carla Bruni et Julien Clerc

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