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Chants thèmes "VIE"ou"Dieu..."
VIE
Alain Barrière- Ce que je crains- - Une Autre Vie.
Alain Souchon - La vie ne vaut rien- «La Vie Théodore»
Aldebert- La vie c'est quoi ?
Bernard HAILLANT - Voilà la vie- La vie, l'amour, la mort-
Charles Aznavour- Sur Ma Vie''
Christophe- La vie c'est une histoire d'amour-
Claude NOUGARO - LA VIE EN NOIR - LA VIE C'EST BEAU - Vie violence- Schplaouch !- Dent De Lait- *II faut tourner la page*
Daniel Balavoine- La Vie Ne M'apprend Rien
Eric Frasiak- *Paroles de la chanson François Béranger*
Félix Leclerc- "La vie-l'amour-la mort"-
Francis Lalanne- **Que La Vie Est Triste
Francis Cabrel- *<L'Ombre Au Tableau'
Georges Brassens- Les trompettes de la renommée- Putain de toi!- *« Le bulletin de santé »- "Une ombre au tableau"
Guy Béart- Qui suis-je ?- *La vie va*
Henri Tachan - ♪ La Vie ♪ - J'ai pas vécu.
Henri Salvador- LA VIE GRISE--
jean-jacques goldman -la vie par procuration- *Des vies*
Jacques Brel- La vie ne fait pas de cadeaux -L'accordéon De La Vie- *Vivre Debout*
Jacques Dutronc- **Et moi, et moi, et moi
Jean ferrat- --C'est beau la vie- "Pourtant la vie"
Léo Ferré- «La Vie D'artiste»- *Avec le temps…*
Michel Delpech- La Vie La Vie-
Mo'vez Lang- *la vie est pleine de surprise
Nicolas Peyrac - Vis Ta Vie -
Renaud- *Mistral gagnant
Scylla- "Qui suis-je ?.
Serge Lama- La vie lilas-
Serge Reggiani- La vie c'est comme une dent- *Et moi je peins ma vie*
Sylvie Vartan- "La vie c'est du cinéma"
Tom Frager- *Nouvelle vie"-
Véronique Sanson- Ma drôle de Vie**
DIEU
Alain Souchon / Laurent Voulzy- Jésus- Et s'il n'y avait personne ?
Anne sylvestre- Les Cathédrales
Adamo Salvatore- Inch'Allah
Bernard DIMEY- La crucifixion (poème)
Calogero Maurici- Yalla-
Charles Aznavour- *Merci Mon Dieu- *Le chemin de l’éternité *
CHARLES TRENET- Je n'irai pas à notre-dame-
Charlélie Couture- Un jour les anges
Claude Dubois- Si dieu existe-
Claude Nougaro- Je Crois- "Plume D'ange" -"Jesus"- Vie violence-
Daniel Balavoine- - Dieu que c'est beau-
Daniel Levi- L' envie d aimer
Edith Piaf- * Jérusalem *
Francis Cabrel- Assis sur le rebord du monde- Le Chêne Liège- Des roses et des orties
Georges Brassens - Dieu s'il existe - La Priere- Le mécréant - La religieuse- Tempête dans un bénitier- LE GRAND PAN -La marguerite- L'antéchrist - Le petit joueur de flûteau - Le Vieux Léon- Saturne- La légende de la nonne - "L'auvergnat"- Si le bon Dieu l’avait voulu- « La messe au pendu »- Cupidon s’en fout- « Le fantôme »- *Je suis un voyou*- **Le mérinos- "*La ronde des jurons-
Grand Corps Malade- *Derrière le brouillard'- *Inch'allah"
Graeme Allwright- *Le jour de clarté*
Guy Béart- ♪ Le Miracle Vient De Partout ♪- L'espérance folle - « O Jehovah ! » - Que diable,(Satan) -Messies Mais Si- 'Quand Au Temple'
Georges Moustaki - Un vent nouveau
Henri Tachan -la Foi-
Jacques Brel- *Priere Paienne*
Jacqueline PAYAN 'musique'- Comptine du texte ancien Petit JESUS...
Juliette- « Un ange passe »*-
Julos Beaucarne- Le petit Jésus
Johnny Hallyday- Jésus Christ
MAURICE FANON -A LA JÉSUS
Michel Maffrand- Mon Dieu que j'en suis à mon aise
Mouloudji- Athée ! Ô grâce à Dieu
Pierre Tisserand -L'apocalypse-
Pierre Perret -Au nom de Dieu-
Léo Ferré- Merci Mon Dieu - Ni Dieu ni maître
Lynda Lemay- M'exaucerais-tu quand même
Tété « le guide »- «Pierrot Lunaire»
Yves Duteil- Le passeur de lumière- Respect
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Par francesco le 14 Mars 2024 à 09:25
Brassens Georges
Si j´ai bonne mémoire, elle allait dégrafée;
On comptait plus les yeux qu´elle avait pu crever.
Elle faisait du tort aux statues de l´antique;
Elle était si prodigue à montrer ses appas
Que la visite au Louvre ne s´imposait pas.
Avec elle le nu devenait art plastique.
Mais les temps sont venus mettre une ombre au tableau,
Rendre à son piédestal la Vénus de Milo.
La belle dégrafée a changé d´esthétique,
Un vent de honte a balayé le pont des Arts,
Et les collets sont montés comme par hasard.
"Les jeunes filles d´aujourd´hui sont impudiques."
De la mode, naguère, elle ignorait le cours,
Invariablement, elle s´habillait court.
Elle aimait accuser le jeu de ses chevilles;
Quand le vent s´en mêlait, c´était fête pour nous
On avait un droit de regard sur ses genoux,
Et l´on en abusait, je vous le certifie.
Mais les temps sont venus mettre une ombre au tableau,
Les jupes tout à coup sont tombées de bien haut.
La belle retroussée est devenue Sophie;
A peine maintenant si l´on voit ses talons,
Quelle que soit la mode, elle s´habille long.
"Elles en font vraiment trop voir, les jeunes filles."
Et s´il avait fallu vêtir une poupée
Du soupçon de chiffon dont elle était nippée,
L´étoffe aurait paru tout juste suffisante;
C´était rien, moins que rien, ça lui couvrait le corps
D´une seconde peau qui la rendait encore
Plus nue toute habillée et plus appétissante.
Mais les temps sont venus mettre une ombre au tableau,
Elle a de la tenue et flétrit le culot
De ces beautés du diable, ces adolescentes,
Qui, la robe collée sur leur peau de satin,
Ont l´air de revenir du faubourg Saint-Martin.
"Les jeunes filles d´aujourd´hui sont indécentes."
Cela dit, sans vouloir lui laver le chignon,
La bagatelle était son gros péché mignon.
L´amour était toujours pendu à sa ceinture.
Légère, elle a connu les mille et une nuits
De noce et son ange gardien, pauvre de lui,
Dut passer auprès d´elle une vie de tortures.
Mais les temps sont venus mettre une ombre au tableau,
Sous le pont des soupirs, il a coulé de l´eau.
La belle enamourée a changé de posture,
Maintenant qu´Adonis a déserté sa cour,
Que l´amour la délaisse, elle laisse l´amour
Aux jeunes filles d´aujourd´hui, ces créatures!
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Par francesco le 13 Mars 2024 à 09:52
Francis Cabrel
Un paysage de terre cuite
Un ciel qu'on dirait de Magritte
La grange couverte de lierre
Le lézard qui dort sur la pierre
Le chat enroulé sur le seuil
L'insecte caché sous les feuilles
Le monde est dans ses couleurs pures
Comme dans tes boites de peinture
Venue d'au-delà des nuages
Du fond du temps et des âges
Il tombe une étrange lumière
D'herbe, de vent, de poussière
Sur nos deux fauteuils inutiles
Ce cerf-volant pris sur les tuiles
Les choses semblent être éternelles Comme dans tes boites d'aquarelle
Dans le bleu ciel entre les branches
L'avion laisse une traînée blanche
Comme un ruban, un long nuage
Comme pour dire "Tout se partage"
Au matin sur le lac immense
Il suffit qu'une barque avance
Et l'eau tremble à n'en plus finir
Comme pour dire "Tout se déchire"
Peut-être essaies-tu quelque part
De peindre l'amour de mémoire
De recomposer les couleurs
D'automne mourant sur un coeur
Si tu veux savoir où j'en suis
Les choses ont peu bougées depuis
Ce jour où tu as tourné le dos Saut peut-être l'ombre au tableau
Dans le bleu ciel entre les branches
L'avion laisse une traînée blanche
Comme un ruban, un long nuage
Comme pour dire "Tout se partage"
Comme pour tes débuts à la gouache
Sur la jolie toile un tache
Toute dans le blanc diluée
Comme pour dire "Tout se défait"
Dans ta lumière favorite
Celle qu'on dirait de Magritte
La grange couverte de lierre
Le lézard qui dort sur la pierre
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Par francesco le 18 Février 2024 à 18:11
Graeme Allwright
Quand tous les affamés
Et tous les opprimés
Entendront tous l’appel
Le cri de liberté
Toutes les chaînes brisées
Tomberont pour l’éternité
On peut chanter tous les poèmes des sages
Et on peut parler de l’humilité
Mais il faut s’unir pour abolir injustice et pauvreté
Les hommes sont tous pareils
Ils ont tous le même soleil
Il faut, mes frères, préparer
Le jour de clarté
Quand tous les affamés
Et tous les opprimés
Entendront tous l’appel
Le cri de liberté
Toutes les chaînes brisées
Tomberont pour l’éternité
On peut discuter sur les droits de l’homme
Et on peut parler de fraternité
Mais qu’les hommes soient jaunes ou blancs ou noirs
Ils ont la même destinée
Laissez vos préjugés
Rejetez vos vieilles idées
Apprenez seulement l’amitié
Pour que les affamés
Et tous les opprimés
Entendent tous l’appel
Le cri de liberté
Toutes les chaînes brisées
Tomberont pour l’éternité
On ne veut plus parler de toutes vos guerres
Et on n’veut plus parler d’vos champs d’honneur
Et on n’veut plus rester les bras croisés
Comme de pauvres spectateurs
Dans ce monde divisé
Il faut des révoltés
Qui n’auront pas peur de crier
Pour que les affamés
Et tous les opprimés
Entendent tous l’appel
Le cri de liberté
Toutes les chaînes brisées
Tomberont pour l’éternité
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Par francesco le 11 Février 2024 à 23:00
Jacques Higelin
Tu es celle que je cherche
Je suis celle que tu trouves quand tu ne cherches plus
Tu es celle que je veux
Je suis celle que tu peux avoir sans même jamais l’avoir voulu
«[Refrain]» :
Nous sommes qui nous sommes
Une femme, un homme
Deux arbres nus dans le verger du paradis retrouvé ou perdu
Nous sommes qui nous sommes
Un dragon, une lionne
Enlacés, nus, dans le jardin du paradis païen
Je suis ton ciel et ton enfer
L’élève et ton maître
Je suis ta source et ton désert
Ton mal et ton bien-être
Je suis
La lumière et ton ombre
La rose et le chardon
Unique parmi le nombre
Le remède et le poison
Je suis
La nuit qui doute
L’aube qui rassure
Je suis la clé de voûte
L’au-delà des murs
Tu es l’étoile et moi l’errant
Qui ne la perd jamais de vue
Je suis le vent et toi la voile tendue
«[Refrain]»
Tu es celle que je veux
Je suis celle que tu peux avoir sans même l’avoir voulu
Tu es celle que je cherche
Je suis celle que tu trouves quand tu ne cherches plus
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Par francesco le 13 Janvier 2024 à 22:58
Charles Aznavour
J'ai laissé ma vie de misère
Aux froides profondeurs de la Terre
Pour trouver grâce à mes prières
Le chemin de l'éternité
Trébuchant sous l'immense voûte
Tout ruisselant, le cœur en déroute
J'ai suivi en cherchant ma route
Le chemin de l'éternité
Privé de mes forces humaines
Guidé par l'espérance incertaine
Je voulais au bout de mes peines
Le chemin de l'éternité
Déchirant mes mains sur les pierres
Le corps souillé de sang et de terre
J'ai gravi comme un long calvaire
Le chemin de l'éternité
J'ai pleuré, et souffert mais qu'importe
Puisque à présent mes peines sont mortes
Car je vois qu'il mène à ta porte
Le chemin de l'éternité
Tout-Puissant, enfante un orage
Pour qu'un éclair déchire un nuage
M'entrouvrant ainsi le passage
Du chemin de l'éternité
Moi, pour ne faire aucune souillure
Ne rien salir, je peux, si cela te rassure
Sans hésiter ôter mes chaussures
Et les pieds nus les mains tendues
Je veux gagner l'éternité
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