• POEMES divers...

     

    Antoine POL- Les passantes...

    Arthur Rimbaud - Les Effarés 

    Bernard Dimey- Le grand-duc

    Charles Baudelaire- Élévation

    François Villon- Ballade des dames du temps jadis

     Georges Brassens- Les passantes...(Paroles de la chanson)

     'Guy Beart'- Il n'y a plus d'aprèsLa Grève Du RêveVous

    Jean Richepin-Les Oiseaux De Passage

    Paul Fort- La marine

    Bernard DIMEY : poèmes, biographie, oeuvres et recueils

    De la pire à la meilleure, nous avons classé les 323 chansons de Michel Sardou

  •                                                                             'Guy Beart'

    Ce qu'il y a de bon en vous c'est vous
    Tout le reste ne vaut rien du tout
    Tout ce qu'il y a autour
    N'est que matière à discours
    Pour le reste, je me tais c'est vous

     

    Quand je vais à notre rendez-vous
    Je me dis ce que les gens sont fous
    De ne pas venir avec moi
    C'est vrai qu'ils ne savent pas
    Ce que c'est que d'être auprès de vous

    Certains me disent du mal de vous
    Mais vous voyez bien que je m'en fous
    Tout le bien et tout le mal
    S'additionnent c'est normal
    Ce qu'il en sort le meilleur c'est vous

    Ah ! j'aimerais tant jouer avec vous
    Même si je reste sans atout
    Sans un as mes rois abdiquent
    Je n'ai plus le moindre pique
    Me reste un seul cœur il est à vous

    C'est fini je reste au garde à vous
    Et je ne dirai plus rien du tout
    Ah ! j'aurais pu dire encor
    Que j'aime tant votre corps
    C'est faux ce que j'aime en vous c'est vous


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  •                        'Guy Beart'

    Tu paieras ta télévision
    Avec tes Gauloises manquées
    Tu paieras ton lapin-vison
    A la Sociale Sécurité
    T'enverras des fleurs à ta mère
    Avec le reste de tes soucis
    Tu mettras de l'eau dans ton verre
    Le vin ça fout la maladie

    Mais faut jamais, même en rêve
    Faut jamais faire la grève...

    Tu passeras à la fin du mois
    Prier Notre-Dame des petits fours
    Si par hasard tu n'as plus de croix
    On te fileras une croix de secours
    La prière ça monte tout droit
    Comme la fumée des hauts-fourneaux
    A moins qu'y'est le vent qui passe par là
    Alors t'as prié pour la peau

    Mais faut jamais, même en rêve
    Faut jamais faire la grève...

    T'auras du foin chez ton tabac
    T'auras de l'avoine pour tes 2 Chevaux
    En disant comme les auvergnats
    C'est Shell que j'aime pour mon bestiau
    Tu prendras ta femme dans tes bras
    Du moins ce qu'en ont laissé les gosses
    Que tu lui fais tous les dix mois
    Faut bien trente jours pour faire la noce

    Mais faut jamais, même en rêve
    Faut jamais faire la grève...

    Quand t'auras le temps t'iras voter
    En montrant tes papiers de souverain
    Pour envoyer ton député
    Faire les conneries que tu ferais bien
    Si par hasard on te fait savoir
    Que le pain le boulot la liberté
    Se sont faits faire sur le trottoir
    Comme une gonzesse... t'auras gagné...

    Alors des fois, même en rêve
    Tu pourras peut-être faire la grève...


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  •                                                                            'Guy Beart'

    Il n'y a plus d'après 

    Maintenant que tu vis 
    A l'autre bout d'Paris 
    Quand tu veux changer d'âge 

    Tu t'offres un long voyage 
    Tu viens me dire bonjour 
    Au coin d'la rue Dufour
    Tu viens me visiter
    A Saint-Germain-des-Prés

    Il n'y a plus d'après
    A Saint-Germain-des-Prés
    Plus d'après-demain
    Plus d'après-midi
    Il n'y a qu'aujourd'hui
    Quand je te reverrai
    A Saint-Germain-des-Prés
    Ce n'sera plus toi
    Ce n'sera plus moi
    Il n'y a plus d'autrefois

    Tu me dis "Comme tout change!"
    Les rues te semblent étranges
    Même les cafés-crème
    N'ont plus le goût qu'tu aimes
    C'est que tu es une autre
    C'est que je suis un autre
    Nous sommes étrangers
    A Saint-Germain-des-Prés

    Il n'y a plus d'après
    A Saint-Germain-des-Prés
    Plus d'après-demain
    Plus d'après-midi
    Il n'y a qu'aujourd'hui
    Quand je te reverrai
    A Saint-Germain-des-Prés
    Ce n'sera plus toi
    Ce n'sera plus moi
    Il n'y a plus d'autrefois

    A vivre au jour le jour
    Le moindre des amours
    Prenait dans ces ruelles
    Des allures éternelles
    Mais à la nuit la nuit
    C'était bientôt fini
    Voici l'éternité
    De Saint-Germain-des-Prés

    Il n'y a plus d'après
    A Saint-Germain-des-Prés
    Plus d'après-demain
    Plus d'après-midi
    Il n'y a qu'aujourd'hui
    Quand je te reverrai
    A Saint-Germain-des-Prés
    Ce n'sera plus toi
    Ce n'sera plus moi
    Il n'y a plus d'autrefois

    A Saint-Germain-des-Prés

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  • Ô vie heureuse des bourgeois               
    Qu'avril bourgeonne
    Ou que décembre gèle,
    Ils sont fiers et contents

    Ce pigeon est aimé,
    Trois jours par sa pigeonne
    Ça lui suffit il sait
    Que l'amour n'a qu'un temps

    Ce dindon a toujours
    Béni sa destinée
    Et quand vient le moment
    De mourir il faut voir

    Cette jeune oie en pleurs
    C'est là que je suis née
    Je meurs près de ma mère
    Et je fais mon devoir

    Elle a fait son devoir
    C'est à dire que onques
    Elle n'eut de souhait
    Impossible elle n'eut

    Aucun rêve de lune
    Aucun désir de jonque
    L'emportant sans rameur
    Sur un fleuve inconnu

    Et tous sont ainsi faits
    Vivre la même vie
    Toujours pour ces gens là
    Cela n'est point hideux

    Ce canard n'a qu'un bec
    Et n'eut jamais envie
    Ou de n'en plus avoir
    Ou bien d'en avoir deux

    N'avoir aucun besoin
    De baiser sur les lèvres
    Et loin des songes vains
    Loin des soucis cuisants

    Posséder pour tout coeur
    Un viscère sans fièvre
    Un coucou régulier
    Et garanti dix ans

    Ô les gens bien heureux
    Tout à coup dans l'espace
    Si haut qu'ils semblent aller
    Lentement en grand vol

    En forme de triangle
    Arrivent planent, et passent
    Où vont ils? ... qui sont-ils ?
    Comme ils sont loin du sol

    Regardez les passer, eux
    Ce sont les sauvages
    Ils vont où leur désir
    Le veut par dessus monts

    Et bois et mers et vents
    Et loin des esclavages
    L'air qu'ils boivent
    Ferait éclater vos poumons

    Regardez les avant
    D'atteindre sa chimère
    Plus d'un l'aile rompue
    Et du sang plein les yeux

    Mourra. Ces pauvres gens
    Ont aussi femme et mère
    Et savent les aimer
    Aussi bien que vous mieux

    Pour choyer cette femme
    Et nourrir cette mère
    Ils pouvaient devenir
    Volailles comme vous

    Mais ils sont avant tout
    Des fils de la chimère
    Des assoiffés d'azur
    Des poètes des fous

    bis
    Regardez les vieux coqs
    Jeune oie édifiante
    Rien de vous ne pourra
    Monter aussi haut qu'eux

    Et le peu qui viendra
    D'eux à vous
    C'est leur fiante
    Les bourgeois sont troublés
    De voir passer les gueux

    Jean Richepin chanté par Brassens

       


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  •  

                                           Chemin succinct... 

    Fin du constructeur français de camions... pour investir au Japon...(choix d'État

     

    Image de la France !...Non-maître de son destin...

    Le camion ! Sans autonomie économique ; c'était très important !...

    Stop ! Avec la politique qui vide et détruit le pays... Pas très malin ;

    Chômage !. Petit à petit les usines ferment ; c'est "donnant, donnant"...

     

    Que c'est Dommage! que Volvo;

    Puisse acheter nos bons camions,

    Renault Trucks, constructeur "dernier"...

    Vient de l'Union de Saviem, et

    l'ancien Berliet, camions si gros!

    poussés, tirés, avec des bons

    Moteurs, turbos très activés,

    par pompe sigma diesel et   (pompe diesel)

    Sa super injection réglo...

     

    "Renault Trucks, perd totalement son autonomie"

                                                                    Ah! quel gâchis...  

                                         R.F

     


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